Les contre-indications

à la pratique de la sophrologie

1. Le bon sens du sophrologue
Il est bien évident que le sophrologue agira toujours avec du bon sens et, par exemple, qu'il ne demandera pas à une personne ayant un mal de dos terrible de pratiquer sa séance allongée.

2. Rester dans son rôle de sophrologue
Il respectera également les limites du cadre de la sophrologie, notamment lorsqu'il s'agit de recommander un psychothérapeute. Les contre-indications à la pratique de la sophrologie concernent surtout les troubles psychiatriques qui affectent un individu et certaines addictions. Notons ces deux exemples :

• Un schizophrène qui pratiquerait la sophrologie pourrait aggraver sa pathologie.
• Un addict doit être avant tout être suivi et encadré par un psychothérapeute qui donnera son aval pour suivre des séances de sophrologie.
  
  

3. La contre-indication presque évidente pour le sophrologue
Par ailleurs, la surdité peut être une contre-indication compte tenu de la place donnée à l'oral lors des séances, bien que le protocole d'une séance puisse être adapté.

4. L'adaptabilité du sophrologue
Enfin, tout sophrologue doit également adapter sa discipline dans d'autres cas tels que certaines maladies cardio-vasculaires, après avoir dit aux personnes concernées de demander l'aval à leur médecin.